Happybycker et Phenix, vous avez le même médecin maintenant alors je vous poste ici un article publié dans Le Point (du forum TRES sérieux : des médecines alternatives).
PEUT-ÊTRE EN PARLER A VOTRE MEDECIN ???
http://fr.groups.yahoo.com/group/naturo05/ (accueil)
http://fr.groups.yahoo.com/group/naturo05/message/775 (lien pour l'article)
La dernière partie est en anglais
VITAMINE C ET CANCER INFORMATION HOSPITALIERE
L'administration de vitamine C par voie intraveineuse pourrait jouer
un rôle dans le traitement du cancer
A la suite d'études préliminaires, des chercheurs de l'Université
McGill (Montréal) et des Instituts nationaux de la santé des Etats-
Unis ont découvert que l'administration d'une dose élevée de
vitamine C par voie intraveineuse peut améliorer les symptômes et
prolonger la durée de la vie de patients atteints d'un cancer
terminal
A la suite d'études préliminaires, des chercheurs de l'Université
McGill (Montréal) et des Instituts nationaux de la santé des Etats-
Unis ont découvert que l'administration d'une dose élevée de
vitamine C par voie intraveineuse peut améliorer les symptômes et
prolonger la durée de la vie de patients atteints d'un cancer
terminal
Les données de l'étude, parue le 28 mars dans le Journal de
l'Association médicale canadienne, sont issues d'observations
soulevées auprès de trois patients atteints de différents types de
cancer. La vie des patients ayant reçu une dose élevée de vitamine C
par voie intraveineuse s'est prolongée de manière inattendue. Le Dr
L. John Hoffer, professeur à la Faculté de médecine de l'Université
McGill et directeur de projet à l'Institut Lady Davis pour la
recherche médicale de l'Hôpital général juif, a écrit l'article en
collaboration avec des chercheurs des Instituts nationaux de la
santé des Etats-Unis.
Selon le Dr Hoffer, les observations recueillies indiquent que le
rôle de la vitamine C administrée en quantité élevée par voie
intraveineuse dans le traitement du cancer doit être étudié
davantage. "Les résultats que nous avons obtenus sont importants
parce qu'ils fournissent de solides arguments en faveur de la
poursuite de cette recherche sur la vitamine C et sur son incidence
dans le traitement du cancer", a-t-il souligné.
Dr L. John Hoffer - Hôpital général juif - Tél : +1 (514) 340 8222
Ext. 5276 - email : l.hoffer@...
http://francais.mcgill.ca/newswire/?ItemID=19302Fanny Martin, MONTREAL, fanny.martin@...
Cette information est un extrait du BE Canada numéro 298 du
19/04/2006 rédigé par l'Ambassade de France au Canada. Les Bulletins
Electroniques (BE) sont un service ADIT et sont accessibles
gratuitement sur
www.bulletins-electroniques.comAdapted from materials provided by Johns Hopkins Medical
Institutions, via EurekAlert!, a service of AAAS.
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APA
MLA
Johns Hopkins Medical Institutions (2007, September 12). How Vitamin
C Stops Cancer. ScienceDaily. Retrieved August 8, 2008, from
http://www.sciencedaily.com /releases/2007/09/070910132848.htm
Publié le 04/08/2008 à 23:54 AFP
Des injections de vitamine C ralentissent le cancer chez des souris
Des injections de vitamine C à hautes doses réduisent la taille et
la croissance de tumeurs cancéreuses de 50% en moyenne chez des
souris de laboratoire, selon des travaux publiés lundi aux Etats-
Unis.
Des injections de vitamine C à hautes doses réduisent la taille et
la croissance de tumeurs cancéreuses de 50% en moyenne chez des
souris de laboratoire, selon des travaux publiés lundi aux Etats-
Unis.
Les effets anti-cancéreux de la vitamine C ou acide ascorbique ont
été attribués à la formation d'eau oxygénée (peroxyde d'hydrogène)
dans le fluide entourant les tumeurs, expliquent les chercheurs des
Instituts nationaux américains de la santé (NIH) co-auteurs de cette
étude.
La vitamine C n'a pas affecté les cellules saines.
Ces souris modèles avaient été respectivement induites de cancers du
cerveau, des ovaires et du pancréas d'évolution rapide similaires à
ceux touchant les humains.
Des mécanismes biologiques naturels contrôlent et régulent
précisément les doses de vitamine C absorbées par le corps par voie
orale ce qui limite leurs effets anticancéreux observés à doses
élevées, expliquent les scientifiques dont les travaux paraissent
dans les annales de l'académie nationale américaine des sciences
(PNAS) datés du 4 août.
"Quand on consomme quotidiennement des aliments contenant plus de
200 milligrammes de vitamine C comme par exemple deux oranges et une
portion de brocoli, des mécanismes biologiques empêchent les
vaisseaux sanguins d'en absorber davantage", précise le Dr Mark
Levine, le principal auteur de cette étude.
Pour passer outre ces contrôles naturels, les chercheurs du NIH ont
injecté de la vitamine C dans les veines ou les cavités abdominales
des souris modèles atteintes de cancers.
Ils ont pu ainsi acheminer des doses élevées de vitamine C allant
jusqu'à l'équivalent de quatre grammes par kilo quotidiennement.
"De telles doses élevées devraient avoir les effets de traitements
anti-cancer efficaces", espère le Dr Levine.
La vitamine C joue un rôle biochimique essentiel pour la santé. Une
carence prolongée provoque le scorbut et finit par être fatale.
Cette vitamine paraît aussi avoir des propriétés anti-oxydantes
protégeant les cellules contre les effets néfastes des radicaux-
libres.
Les auteurs de cette recherche ont au contraire testé l'idée selon
laquelle des injections de vitamine C à hautes doses pourraient
avoir un effet pro-oxydant générant des radicaux libres et la
formation de peroxyde d'hydrogène qui pourrait détruire les cellules
cancéreuses.
Leur expérience conduite sur 43 cancers et 5 lignées de cellules
normales chez des souris a montré que les hautes concentrations de
vitamine C avaient des effets anticancéreux dans 75% des cellules
cancéreuses tout en laissant intactes les tissus sains.
Les auteurs de ces travaux ont également démontré dans leur étude
que ces hautes doses de vitamine C pouvaient aussi être injectées à
des humains.
LE POINT
Article ANGLAIS :
Science News
How Vitamin C Stops Cancer
ScienceDaily (Sep. 12, 2007) — Nearly 30 years after Nobel laureate
Linus Pauling famously and controversially suggested that vitamin C
supplements can prevent cancer, a team of Johns Hopkins scientists
have shown that in mice at least, vitamin C - and potentially other
antioxidants - can indeed inhibit the growth of some tumors ¯ just
not in the manner suggested by years of investigation.
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of how antioxidants such as vitamin C help prevent cancer growth is
that they grab up volatile oxygen free radical molecules and prevent
the damage they are known to do to our delicate DNA. The Hopkins
study, led by Chi Dang, M.D., Ph.D., professor of medicine and
oncology and Johns Hopkins Family Professor in Oncology Research,
unexpectedly found that the antioxidants' actual role may be to
destabilize a tumor's ability to grow under oxygen-starved
conditions. Their work is detailed this week in Cancer Cell.
"The potential anticancer benefits of antioxidants have been the
driving force for many clinical and preclinical studies," says
Dang. "By uncovering the mechanism behind antioxidants, we are now
better suited to maximize their therapeutic use."
"Once again, this work demonstrates the irreplaceable value of
letting researchers follow their scientific noses wherever it leads
them," Dang adds.
The authors do caution that while vitamin C is still essential for
good health, this study is preliminary and people should not rush
out and buy bulk supplies of antioxidants as a means of cancer
prevention.
The Johns Hopkins investigators discovered the surprise antioxidant
mechanism while looking at mice implanted with either human lymphoma
(a blood cancer) or human liver cancer cells. Both of these cancers
produce high levels of free radicals that can be suppressed by
feeding the mice supplements of antioxidants, either vitamin C or N-
acetylcysteine (NAC).
However, when the Hopkins team examined cancer cells from cancer-
implanted mice not fed the antioxidants, they noticed the absence of
any significant DNA damage. "Clearly, if DNA damage was not in play
as a cause of the cancer, then whatever the antioxidants were doing
to help was also not related to DNA damage," says Ping Gao, Ph.D,
lead author of the paper.
That conclusion led Gao and Dang to suspect that some other
mechanism was involved, such as a protein known to be dependent on
free radicals called HIF-1 (hypoxia-induced factor), which was
discovered over a decade ago by Hopkins researcher and co-author
Gregg Semenza, M.D., Ph.D., director of the Program in Vascular Cell
Engineering. Indeed, they found that while this protein was abundant
in untreated cancer cells taken from the mice, it disappeared in
vitamin C-treated cells taken from similar animals.
"When a cell lacks oxygen, HIF-1 helps it compensate," explains
Dang. "HIF-1 helps an oxygen-starved cell convert sugar to energy
without using oxygen and also initiates the construction of new
blood vessels to bring in a fresh oxygen supply."
Some rapidly growing tumors consume enough energy to easily suck out
the available oxygen in their vicinity, making HIF-1 absolutely
critical for their continued survival. But HIF-1 can only operate if
it has a supply of free radicals. Antioxidants remove these free
radicals and stop HIF-1, and the tumor, in its tracks.
The authors confirmed the importance of this "hypoxia protein" by
creating cancer cells with a genetic variant of HIF-1 that did not
require free radicals to be stable. In these cells, antioxidants no
longer had any cancer-fighting power.
The research was funded by the National Institutes of Health.
Authors on the paper are Dean Felsher of Stanford; and Gao, Huafeng
Zhang, Ramani Dinavahi, Feng Li, Yan Xiang, Venu Raman, Zaver
Bhujwalla, Linzhao Cheng, Jonathan Pevsner, Linda Lee, Gregg Semenza
and Dang of Johns Hopkins.
Adapted from materials provided by Johns Hopkins Medical
Institutions, via EurekAlert!, a service of AAAS.
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Johns Hopkins Medical Institutions (2007, September 12). How Vitamin
C Stops Cancer. ScienceDaily. Retrieved August 8, 2008, from
http://www.sciencedaily.com /releases/2007/09/070910132848.htm
Publié le 04/08/2008 à 23:54 AFP